Programme

Wikileaks, Edward Snowden, Luxleaks, Panama papers : ces dernières années ont vu surgir la figure du lanceur d’alerte, présenté par les médias comme défenseur de la démocratie et de l’intérêt général.

La manière de protéger le lanceur d’alerte peut s’avérer complexe, entre la nécessité d’informer les citoyens sur l’existence de graves manquements et de maintenir la confidentialité, socle indispensable pour préserver la sécurité nationale ou certains intérêts privés.

Ce midi du droit sera l’occasion de s’interroger sur les valeurs fondamentales en jeu. Il posera également la question de la protection du lanceur d’alerte, dans le droit belge, étranger et international : Que recouvre la notion de lanceur d’alerte ? Quel est son statut ? De quelle protection bénéficie-t-il

Intervenants

  • Alain Lallemand, grand reporter, Le Soir
  • Quentin Van Enis, avocat, chargé de cours invité à l’UNamur (CRIDS) et à l’UCL, membre du Conseil de déontologie journalistique

​Modérateur

  • Isabelle Minnon, juriste, SPF Justice, direction générale Législation, Libertés et droits fondamentaux, service Droits de l'homme

Les intervenants s'exprimaient en français