La cellule interdépartementale de coordination de la lutte contre la traite et le trafic des êtres humains a tenu sa première réunion sous une nouvelle formule.
La réforme du mécanisme de coordination en 2014 a permis d’inclure de nouveaux partenaires essentiels :

  • Les organisations non gouvernementales. Les ONG sont des centres spécialisés dans l’accueil des victimes de traite et de trafic.
  • Les entités fédérées. De nombreuses initiatives en termes de prévention relèvent de leur compétence. De ce fait, la formation de certains acteurs de l’aide à la jeunesse ou de services d’inspection régionaux s’impose.
  • Les secrétaires d’Etat à l’Asile et la Migration et à l’Egalité des chances. Ils n’étaient pas représentés contrairement à leurs propres administrations.  L’arrêté royal de 2004 ne le prévoyait pas à l’époque en raison des répartitions des compétences ministérielles. 

Les points à l’agenda :

  • le projet d’un troisième plan d’action belge de lutte contre la traite des êtres humains
  • les résultats de l’évaluation de la campagne de sensibilisation dans les milieux médicaux

Présidence : Koen Geens, ministre de la Justice

Bureau (organe exécutif) : Politique criminelle (SPF Justice, direction générale de la Législation et des Libertés et Droits fondamentaux)